Coïncidence

Une coïncidence est la rencontre de deux circonstances ou événements n’ayant apparemment pas de liens en eux. Le mot vient du latin cum- (« avec », « ensemble ») et incidere (verbe composé de « in » et « cadere » : « advenir », « se produire »).

On peut illustrer le concept de coïncidence dans son sens le plus courant avec l’exemple suivant :

– Une personne marche dans la rue, un pot de fleurs tombe du balcon : ce sont les deux circonstances ou événements,
– Le pot de fleurs tombe sur la tête de la personne marchant dans la rue,
– Les deux événements n’étaient pas destinés à ce croiser :  il n’y a pas en apparence de lien de causalité entre eux.

Si la probabilité d’une coïncidence est statistiquement inévitable, son caractère hasardeux est parfois discuté. En effet, certains y voient, bien au-delà du hasard, un signe manifeste du destin.

 On peut également mentionner le psychiatre Carl Gustav Jung, qui élabora une théorie intimement liée au concept de coïncidence : la synchronicité. Il s’agit pour Jung, de l’occurrence simultanée d’au moins deux événements qui ne présentent pas de lien de causalité, mais dont l’association prend un sens pour la personne qui les perçoit.

Gnose

La gnose est une croyance philosophico-religieuse, qui a pour concept cardinal le fait que le salut de l’âme passe par la connaissance de la divinité et donc,  par une connaissance de soi. Elle se distingue d’autres croyances par son aspect philosophique puisqu’elle ne se limite pas à la foi, à la prière ou à la dévotion.

GnoseLa gnose  qui va donc à l’encontre même de la théologie chrétienne, peut pourtant prendre diverses formes et en se borne pas seulement au dénis de toute forme divine. On trouve en effet des gnostiques chrétiens, qui incluent l’idée que Dieu est bel et bien à l’origine de la création mais ne reconnaissent pas forcément l’autorité de l’église chrétienne.

Selon les gnostiques, chaque être possède une part divine et un savoir déjà acquis qui ne demande qu’à se développer à nouveau au fur et à mesure des incarnations.
Par ailleurs, la Gnose laisse supputer que le fonctionnement du monde repose sur le duel permanent de force obscure et de forces de la lumière. Son fonctionnement ressemblant ainsi à la signification primaire du yin et du yang.

La gnose est une théorie antique déjà ancienne, qui a pourtant été « remise » à l’étude et au goût du jour, après la découverte en 1945 des manuscrits de la bibliothèque de Nam Hammadi. Ces manuscrits sont formés de treize codex datés du IVéme siècle et on été découverts au nord ouest de Louxor.

De célèbres alchimistes ou occultistes connus se sont déclarés adeptes de la Gnose, cette dernière véhiculant en effet des idées occultes et mystiques très marquées. Posséder la Gnose étant synonyme de posséder la connaissance totale et donc les secrets de la création, de l’univers et de la vie dans son tout, en passant généralement par des rites initiatiques qui mènent à l’illumination.

 

Jour personnel

Le jour personnel résulte d’un calcul numérologique, permettant de connaître la vibration d’une journée pour un individu donné. On peut recenser plusieurs manières de le calculer. Mais quelle que soit la méthode choisie, il faut toujours se baser sur l’ajout du jour de naissance avec le mois de naissance, l’année recherchée, le mois recherché et le jour recherché. Une fois que c’est fait, il faut réduire le nombre obtenu jusqu’à ce qu’on obtient un chiffre entre 1 et 9.

Jour personnelComment déterminer son jour personnel ?

Voici comment procéder. Prenons l’exemple d’Angéline, qui est née le 1er février 1992 et se pose une question sur ce qui lui arrivera sur un jour précis, le 15 mars 2022.

 

On va additionner son jour de naissance à son mois de naissance donc, 1+2 = 3. On procède à un calcul de même type sur le jour pour lequel existe une interrogation : 15 mars 2022, soit : 15 + 3 + 2022 = 2040. On additionne les deux chiffres 2040 + 3 = 2043 que l’on réduit à un chiffre inférieur à 10 : 2 + 0 + 4 + 3 = 9. Le jour personnel d’Angéline est donc le 9 !

Un fois le chiffre du jour personnel obtenu, on peut débuter l’interprétation gardant en tête que les caractéristiques propres à chaque jour personnel donc voici succinctement les grandes lignes :

1 : lié à l’action, la combativité, propre à la prise de décision et à la résolution de problèmes
2 : chiffre de la dualité, ce jour est propice aux rencontres (voire aux ruptures !) et au projets communs
3 :  chiffre de créativité et d’empathie, intimement lié au succès, idéal pour se lancer dans un projet
4 : propre au travail de fond, lié au travail et à la mise en ordre de ses affaires
5 : idéal pour les changements tels que voyage, rencontre, travail
6 :  jour lié à l’amour et à l’amitié ainsi qu’à la concrétisation de projet, en évitant de se disperser
7 : jour d’introspection, de prise de conscience, éviter d’entreprendre des projets complexes
8 : jour propice à l’entreprise, souvent couronnée de réussite matérielle
9 :  jour de fin de cycle, il vaut mieux remettre des gros projets au lendemain ! Les sentiments sont souvent éprouvés, pour le bien ou pour le mal…

Karma

Le Karma est une loi spirituelle, présente dans certaines religions orientales (hindouisme, bouddhisme, jaïnisme sikkhisme…). Ce terme provient du mot Karma ou karman en sanskrit (noté en devanagari कर्म et कर्मन्) ; de la racine verbale kṛ, signifiant « acte » ou encore « action ». Communément, on emploie ce terme pour désigner le cycle des causes et des conséquences liées à l’existence des êtres sensibles. Il est alors la somme de ce qu’un individu a fait, est en train de faire ou fera.

Indissociable du principe de la réincarnation, le Karma incite toute personne à faire le bien. Les mauvais actes du passé ont des impacts sur le présent et inversement, les actes de réelle bonté du passé influent de manière bénéfique sur le présent. Ainsi, pour résoudre les blocages qui sont devant nous, nous devons faire du bien pour compenser nos actes antérieurs.

KarmaAinsi, le karma ne se détruit jamais seul, il faut agir en bien afin de se libérer du « mal » et de semer ultérieurement ce qu’on récolte à présent. Le principal objectif de cette loi karmique est de flécher à chacun le bon chemin qu’il doit suivre afin que ce dernier puisse évoluer son âme et atteindre la perfection.

Il existe une technique de numérologie permettant de calculer sa dette karmique, soit le cumul des actions, souvent négatives, et préjudiciables à une vie harmonieuse. La connaissance de ses dettes karmiques permet de se libérer de ses mauvais karmas.

Afin de connaître vos dettes karmiques, il fat procéder à un calcul qui relève de la numérologie karmique. Il faut partir de son nom et prénom(s), les transformer en chiffres en faisant correspondre chaque lettre de l’alphabet en un chiffre compris entre 1 et 9. Puis de compter les chiffres qui se répètent, et remplir une table karmique composée de 9 cases, en fonction des répétitions. Chacune des cases correspond à un type de dette karmique, les cases vides correspondent à vos nombres karmiques.

Une fois cette procédure achevée, il est possible de passer à la phase d’interprétation.

Pierre philosophale

La pierre philosophale est une substance dont l’usage est indispensable à la pratique de l’alchimie. L’opération visant à réaliser la pierre philosophale est appelée le «  grand-œuvre ». Les alchimistes lui attribuaient des propriétés ésotériques suivantes :

      • La transmutation ou le changement de métaux communs (plomb, mercure, étain…) en des métaux précieux et plus particulièrement, vers l’or,
      • La guérison de toutes les maladies qu’on appelle aussi la panacée,
      • La prolongation de la vie humaine jusqu’au limite de l’immortalité.

La pierre philosophale, catalyseur de matière

Les alchimistes recherchaient les secrets de la matière des éléments et donc, des métaux. Selon eux, ces derniers étaient faits de caractéristiques dont la connaissance acquises, permettait de les transformer à loisir.

Pierre philosophalePartant de ce principe, la connaissance de toute les matières ouvrirait la voie vers le contrôle des éléments causant les maladies. Quoi de plus tentant d’intervenir ensuite sur la durée de l’existence en la prolongeant le plus possible…

D’aucuns prétendent la quête de la pierre philosophale serait le symbole d’une quête sprirituelle. En effet, cette recherche de connaissance ne peut-il pas être compris comme une richesse non matérielle mais symbolique, une pureté de vie éloignant des maladies, la connaissance profonde de l’âme humaine comme l’image de l’immortalité ?